Un design plus agressif
La toute nouvelle INFINITI Q50 S voit son visage retouché, avec une imposante calandre caractéristique de la marque, encadrée de feux à l’allure très féline. La berline se dote également d’étriers de freins rouges flambant neufs et d’une ligne marquée sur chaque épaule. Ses traits ainsi renforcés, la Q50 S affiche sa sportivité et son caractère ambitieux.
A l’intérieur, élégance et technologie sont toujours de mise. La berline propose à ses occupants un environnement spacieux et un haut niveau de personnalisation, avec la possibilité de s’équiper d’une nouvelle sellerie cuir couleur Graphite ou Java Brown. Également, de nouveaux chromes noirs et fuselés sont disponibles, tout comme une finition de bois sombre vernis, ou encore une ligne de toit, noire elle aussi.
Très concernée par l’individualité, INFINITI met un point d’honneur à pousser au maximum la personnalisation de sa Q50 S. Pour cela, le véhicule proposera une triade de nouvelles carrosseries métallisées : Midnight Black, Pure White et Dynamic Sunstone Red, qui vient remplacer l’actuel Venetian Red.
Une berline intelligente et performante
Au démarrage, le rugissement de l’INFINITI Q50 S est dû à son tout nouveau moteur 3.0 L V6 double turbo, qui développe une puissance phénoménale de 400 ch ! Disponible en cinq motorisations différentes selon son niveau de finition, la voiture offre également un bloc hybride 6 cylindres 3.5 L. De quoi vous laissez scotché à votre siège.
La version 2017 de la berline propose également de voir encore plus loin avec des équipements technologiques toujours plus novateurs. C’est notamment le cas du tout nouveau Telematic control Unit, grâce auquel le conducteur peut contrôler, à distance et via son smartphone, de multiples éléments de sa Q50 S. INFINITI continue avec brio son avancée sur une expérience de conduite toujours plus sûre et confortable.
Le constructeur n’a pas donné de date précise quant à la commercialisation de sa nouvelle génération de Q50 S ; nous devons ainsi nous contenter d’une date “plus tard dans l’année”. Inutile de préciser qu’il nous tarde d’y être !